Cet été, durant la préparation de mon concours d’avocat, j’ai lu l’ouvrage de Christophe Ono-dit-Biot : « Birmane » (éditions Plon).
Ce roman a reçu le Prix Interallié en 2007. Un Prix prestigieux au côté du Prix Goncourt et du Prix Renaudot .
Et pour cause, il rend hommage à la Birmanie, à son peuple et à son histoire. D’ailleurs, je ne peux pas m’empêcher d’avoir une pensée affectueuse pour la Birmane Aung San Suu Kyi, femme politique placée en résidence surveillée par la junte militaire au pouvoir.
A travers ce roman, à mi-chemin entre une aventure, une fantasmagorie pleine d’imagination et une carte postale, il y a avant tout une histoire humaine : celle de César et de Julie.
Dès lors, peux-t-on parler d’une auto-fiction ? Je pense que oui. D’ailleurs, un roman sans une touche personnelle n’existe pas. Christophe est un vrai romancier et ce roman est simple à lire.
Humainement, Christophe Ono-dit-Biot est un garçon simple, curieux et terriblement cultivé. Fan de football et de l’écriture, il aime les voyages puisqu’il a été grand reporter au journal Le Point.
Il représente le renouvellement de la littérature française.
Anonyme
Salut Arash,
De retour de vacances, je vais suivre ton blog attentivement.
A+
Essimi Mevegue