180 000 jeunes considérés comme « perdus de vue » par le ministère de l’éducation nationale contre 70000 dans les années 1990 et 150 000 au milieu des années 2000, le constat du rapport, enregistré à l’Assemblée nationale le 25 mai 2011, fait au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation sur la proposition de loi visant à lutter contre le décrochage scolaire est sans appel. La situation ne cesse de s’aggraver.
Ce résultat est un scandale et une honte pour mon pays, la France.
Quatre solutions à apporter selon moi :
1) Une obligation de résultat pour des connaissances à atteindre et à acquérir à l’école primaire, au collège et au lycée.
2) Associer étroitement l’école avec la culture et le sport.
3) Développer plus amplement les stages en entreprises
4) Et surtout, développer, dès le plus jeune âge, un esprit positif et enthousiaste. Et c’est le point le plus important. En effet, notre civilisation regarde souvent la bouteille à moitié vide.
Nous vivons dans le doute, la suspicion et la méfiance. Or, le principe à éduquer dès la maternelle, c’est de ne pas envier son voisin, de ne pas jalouser son ami, de ne pas être frustré ou amer. Bref, il s’agit d’être positif et enthousiaste.
Regarder le bon côté de la vie et être à la recherche de son bonheur.
Cela s’éduque et cela s’apprend. Dès le plus jeune âge. C’est ce que l’on appelle la « Positive thinking« …Toute une philosophie de la vie.
Laisser un commentaire