Kambiz est considéré comme un des plus grands caricaturistes au monde, au même titre que Plantu ou Cabu.
Il expose en ce moment à la galerie Nicolas Flamel (216, rue Saint-Martin 75003 Paris – France) du 10 décembre au 31 décembre 2011.
Né à Shiraz (Iran) en 1942, Kambiz commence sa carrière, dès l’âge de 15 ans, en contribuant à de nombreuses caricatures dans la presse locale et internationale.
Puis, à la fin de ses études, il organise de nombreuses expositions en Iran et à l’étranger. Il commence à enseigner l’art de la caricature dans un certain nombre de centres éducatifs et artistiques, y compris l’Université de Téhéran, d’abord comme instructeur et plus tard comme professeur.
Kambiz collabore à de nombreux journaux, magazines et périodiques depuis plus de 23 ans (Nebel Spalter en Suisse, Die Zeite, La Republica, Le Monde, le New York Times, Eulenspiegel, Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine, Frankfurter Rundschau, West Deutsche Allgemeine). Il entretient également une collaboration avec l’Agence de New York (Syndicat internationale des caricaturistes) et Koch Caricature Agence (CCC) à Munich.
Enfin, parmi les expositions les plus importantes, nous pouvons citer les expositions organisées au Wilhelm Busch Museum (Musée caricature allemande), au château de Uberhausen en Allemagne, au Düsseldorf Art Gallery, au Bâle Musée Caricature (Suisse), au Gabrovo Maison de l’Humour & Satire, à l’aéroport international de Vienne, à Gratz (Autriche), au Aida Arts Gallery à Hambourg, au Hall Central du Dtisburg Bibliothèque (Allemagne), au Hall central de la Bibliothèque Mulheim (Allemagne), à la Galerie d’Art en Hamlen (Allemagne),…
Il a remporté les prix suivants :
– 1968 : Sixième Prix de Montréal, Canada
– 1969 : Cité parmi les cent meilleurs caricaturistes du monde (sondage organisé par Gabrovo Maison de l’Humour – Satire de la Bulgarie).- 1973 : Troisième Prix de Gabrovo – Maison de la Bulgarie. – 1986 : Diplôme de Mention Honorable-Istanbul, Turquie- 1986 : Date Palm Argent et le Deuxième Prix du Bordriga, en Italie.- 1987 : Premier Prix et la Statue de Saint Ange, bringen, en Belgique.- 1987 : Premier Prix pour la meilleure caricature de livre de l’année (Kambiz Livre), bringen, en Belgique. – 1987 : Troisième Prix et la Médaille de Bronze – Istanbul, Turquie- 1987 : Diplôme Mention Honorable Mention élogieuse et la Table, au Brésil- 1988 : Premier Prix des Verts d’Allemagne – Munich.- 1989 : Deuxième Prix de Gabrovo Maison de l’Humour – Satire de la Bulgarie.- 1990 : Grand Prix et la médaille d’or d’Istanbul, en Turquie.- 1998 : Grand Prix et la médaille d’or du Yomiyori Shimbon de Tokyo, Japon.- 1998 : Grand Prix de Sao Paulo, Brésil- 1998 : Premier Prix du Festival International de Caricatures, Emental, en Suisse.- 1998 : troisième prix et la médaille de bronze de la Corée du Sud.- 2002 : Grand Prix de la Pologne pour le meilleur anti-guerre caricature.
Month: décembre 2011
Livre – coups de coeur : Valérie Motté, Christophe Beaugrand, Olivier Cimelière et Layticia Audibert
commande : « Dictionnaire malhonnête de la télévision » de Christophe Beaugrand
Biographie : Christophe Beaugrand a 34 ans, fort de douze ans d’expérience dans le milieu de la télé (et de plus de trente en tant que téléspectateur). Il est aujourd’hui journaliste sur TF1 et LCI, animateur sur NT1 et membre de la Bande à Ruquier sur Europe 1.
Résumé : Ardisson, Thierry : animateur provoc’ sapé en noir parce que ça amincit, né le 6 janvier 1949 à Bourganeuf. Prompteur : dispositif qui permet au présentateur de lire son texte sur l’écran de la caméra et donc de donner l’impression aux téléspectateurs qu’il est omniscient ou qu’il connaît ses textes par coeur. Alors qu’en réalité le présentateur est une grosse feignasse. Célébrités épinglées, jargon de la télé réinventé, sagas de l’été, jeux ou émissions de variétés, le tout passé au crible dans un mauvais esprit assumé et revendiqué ! Christophe Beaugrand décrypte avec humour ce monde du petit écran où tout le monde se déteste avec le sourire !
commande : « Journalistes, nous avons besoin de vous ! » de Olivier Cimelière
Biographie : Après avoir été reporter en presse écrite et en radio à la sortie de son école de journalisme (CELSA), Olivier s’est orienté vers la communication d’entreprise au sein de grandes entreprises internationales dans successivement le secteur pharmaceutique (Bœhringer Ingelheim), le secteur alimentaire (Nestlé Waters) et le secteur des technologies de l’information et de la communication (Ericsson & Google). Olivier compte plus de 20 ans d’expérience professionnelle en communication,relations presse et réseaux sociaux. Il anime en outre un blog personnel sur la communication, l’information, la réputation et la distorsion d’image : www.leblogducommunicant2-0.com.
Résumé : Jamais les médias n’ont affronté une période aussi turbulente et viciée qu’actuellement. Les lecteurs désertent, surtout les jeunes générations, et les comptes d’exploitation sont en berne devant une presse gratuite qui essaime, une publicité qui rétrécit et Internet qui tisse sa toile à vitesse supersonique à travers les médias sociaux. Les dirigeants de presse sont désemparés. Ils subissent de plein fouet l’explosion des modèles économiques si souvent rafistolés à coups de subventions et de mannes publicitaires. Modèles que le Web achève de piétiner par sa culture du gratuit et de l’instantanéité. Ensuite, la profession journalistique est pointée d’un doigt accusateur pour ses collusions trop systématiques, ses dérapages éditoriaux et ses dérives déontologiques. A vouloir trop souvent s’imposer juge avant les juges, à préférer commenter et critiquer plutôt qu’éclairer et expliquer, à force de jouer un obséquieux pas-de-deux avec les pouvoirs politiques et les puissances financières tout en invoquant la sacro-sainte éthique journalistique, les journalistes ont brouillé les fondamentaux de la profession et dilué autant son essence que sa raison d’être. A force de se tirer des balles dans un pied et d’avancer à cloche-pied de l’autre sur les terrains mouvants des jeux d’influence, la presse française est désormais débordée par des citoyens qui s’improvisent journalistes. Sur leur terrain de jeu qu’est Internet, ces derniers entendent faire aussi bien sinon mieux que les titulaires patentés. On atteint désormais des paradoxes insoupçonnés qui font que le blog dénonciateur d’un quidam lambda est forcément moins suspect de connivence et de parti-pris que l’éditorialiste d’un grand titre national. Aujourd’hui, il y a urgence. Que faire pour remagnétiser la boussole éditoriale et économique des journalistes ? Le journalisme de qualité doit continuer à vivre. Pas seulement pour les journalistes eux-mêmes mais pour la société démocratique toute entière dans laquelle nous avons encore la chance de vivre. Même si la presse ne sera jamais parfaite, elle vaut tout de même mieux que ce marché aux puces de l’information déstructurée qui déboule et dégouline partout et à tout instant.
Enfants gâtés de la démocratie que nous sommes, n’oublions pas que lire un journal, un site ou écouter une émission sont des actes de liberté et de démocratie. Politiques, entreprises, citoyens, tous autant que nous sommes, avons intérêt à disposer encore d’une presse valable et solide. Si nous ne le faisons pas pour nous, faisons-le au moins pour la génération numérique qui va prendre le relais. Avec la multiplicité actuelle des canaux d’information, l’enjeu est de lui éviter une cacophonie informative abrutissante où chacun s’enferme à double tour dans sa “vérité d’airain” et cherche à intoxiquer l’autre à force de crier plus fort et plus vite.
commande : « De mort et d’eau fraîche« de Layticia Audibert
Biographie : Layticia Audibert vit et travaille à Paris. Elle est née le 3 février 1975, à Nice, quelque part sur la terre mais déjà le nez dans les étoiles. Peintre, avocate de formation et directrice juridique dans une société de gestion d’actifs, elle est avant tout amoureuse de la vie et du rire. Pour elle, faire de l’art ce n’est pas apprendre à nager dans ce monde, c’est apprendre à s’y plonger. Sa peinture et ses mots jaillissent dans un cri.
Résumé : Le roman De mort et d’eau fraîche de Layticia Audibert raconte l’histoire d’Adam, un jeune trentenaire, gâté et superficiel, qui a brûlé sa vie à l’usure de ses réserves de latex. Alors qu’il apprend qu’il est condamné, il s’interroge : qu’a-t-il vraiment fait de sa vie ? Que va-t-il faire des quelques jours qui lui restent ? Pour éviter de se voir dépérir, il s’accordera sept jours. À vivre au rythme de ses péchés capitaux. À réaliser ses rêves dans une course effrénée et sans tabou, sans regret ni concession. Il va conclure avec la femme qu’il aime un contrat d’amour à durée limitée. À travers ce voyage intime, cette quête de soi et des autres, cette recherche de l’oubli du temps, Adam saura-t-il découvrir qui il est ? Acceptera-t-il de payer le prix fort ?
commande : »Conseils de fées et potions magiques pour se sentir bien » de Valérie Motté
Biographie : Valérie Motté est productrice artistique. Elle est douée d’une intuition hors du commun qui lui permet d’être à l’écoute de la nature, des messages et des signes que lui transmet la vie. Adepte des médecines douces, elle utilise des »potions naturelles » pour prendre soin de son âme et de son corps. Autant de connaissances qu’elle souhaite partager aujourd’hui avec le plus grand nombre.
Résumé : Les fées, petits êtres fantastiques, enchantent le quotidien, elles veillent sur nous et nous prodiguent des conseils pour être bien au fil des mois ! Ce joli petit livre est leur grimoire magique, il rassemble leurs bienveillants messages : chaque mois, une parole radieuse pour faire vibrer votre âme, une pierre bienfaisante pour vous charger d’énergie, une huile essentielle pour soigner les petits maux du moment, un oligoélément pour renforcer votre vitalité, et pour booster votre santé, la liste des fruits et légumes de saison ! Ainsi de mois en mois, vous vous épanouissez sous le regard protecteur de ces marraines merveilleuses. N’oubliez pas de consigner vos ressentis, vos pensées et progrès sur la page mensuelle de notes personnelles !