Si tu veux mon avis, rien ne dure.
Il n’est jamais trop tard ou trop tôt,
pour celui ou celle que tu veux être.
Il n’y a pas de limite de temps,
c’est quand tu veux.
Tu peux changer ou rester le même,
il n’y a pas de règles.
On peut en tirer le meilleur ou le pire,
j’espère que tu en tireras le meilleur.
J’espère que tu verras des choses qui te secoueront.
J’espère que tu rencontreras des personnes, avec un autre point de vue.
J’espère que tu seras fier (fière) de toi…
Mais si ce n’est pas le cas,
j’espère que tu trouveras la force de tout recommencer…
Car rien ne dure.
tfsalomon
Connais-tu l'histoire de la bague royale spéciale ? Quand on la portait dans la tristesse, on devenait heureux, et quand on la portait dans la joie, on devenait triste. Son secret ? À l'intérieur de la bague était gravé… “Gam Ze Ya-avor” (cela aussi passera) !
stellaires amitiés,
t.
admin
Tatiana, quel honneur. Cet espace est le tien…
Merci pour ton histoire qui est magnifique 🙂
Valérie Lucani
Rien ne dure car l'expérience te transforme et tu apprends de tes erreurs comme de tes réussites. Tu apprends de tes tristesses comme de tes joies. Tu te dis alors qu'après le coup dur viendra un petit bonheur et tu profiteras du bonheur tant qu'il est la. D'ou ma devise : Carpe Diem
DYANE
Très belle leçon d'humanité merci de ce partage 🙂
jeffjoubert
Le vent de tes caprices dérive vers cette plage, en un souffle le sept se lève, des souhaits se dessinent pour notre terre, unité, fraternité, sans port d’âme bleu séant. Maître du temps, de l’espace, le six tonne et sort de l’enfer, une lettre de misère, un long silence de désarroi, qui laisse parfois amer le cinq couler en mer, dans son cortège de sortilèges.
Vingt, dix vins, secrets de familles, rêve d’un chiffre câlin, identique au quatre et ses arrières pensées sauvages : pleure, rage, nage sous le pli de l’ennui, respire…
Puis le trois, la source, deux frères, une flamme et plus un seul mystère. Une croisière, de la danse sur les flots, lointaine descente vers ce bras de fer, juste un creux, une vague, des étoiles plein la tête, une larme sur l’œil-cœur.
Un visage sur cette plage, le tien, la marée l’efface, un long songe sans menace.
La nuit offre cette distance confuse, celle qui entre dans les pores de ma peau, cette mémoire presque morte où résistent quelques images de sirènes, des fruits de nos vacances disparues au fond de l’eau.
Le sable réfléchit, l’Ô delà s’élève, la douce silhouette de ton esprit, une valse qui rend belle quand elle étonne la nuit et donne ce plaisir de t’apercevoir souriante sans nuage, heureuse, dans cette pluie de miroirs qui sommeillent…
admin
Bravo Jeff ! Superbe !
Melodie68
très beau texte tellement vrai, rien ne dure mais apprécions l'instant présent 🙂
Le Parisien Liberal
version moderne de la rose ?