Blog Arash Derambarsh élu à Courbevoie

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Category: Derambarsh (Page 2 of 6)

Jacques Kossowski et Arash Derambarsh signent la Charte contre le gaspillage alimentaire Courbevoie

Cette conférence de presse, qui a eu lieu le jeudi 3 février 2022, a permis de faire le bilan d’une année de lutte contre le gaspillage alimentaire avec des invités prestigieux comme Karl OLIVE (maire de Poissy), Philippe LAURENT (maire de Sceaux), Madame Valérie PONS-PRÊTRE (Directrice du Centre Hospitalier Rives de Seine),…

Arash DERAMBARSH est à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée le 3 février 2016.

Depuis qu’il est adjoint au maire dans la ville de Courbevoie au développement durable, une politique de « Ville zéro gâchis » a été mis en place à la demande du Maire Jacques KOSSOWSKI.

Très investie dans la lutte contre le gaspillage alimentaire, la Ville de Courbevoie a donc participé activement à l’élaboration de la loi de 2016 et met déjà en place des actions sur cette thématique : installation de tables de tri dans les cantines scolaires, actions de sensibilisation aux biodéchets et au compostage au travers d’initiatives en lien avec le jardinage en ville (jardinage dans les écoles, jardins partagés en lien avec l’association Espaces…).

La présente charte d’engagement en faveur de la lutte contre le gaspillage alimentaire a un triple objectif : créer des synergies pour que chacun puisse prendre part à cette lutte et adapte ses pratiques,  participer à la sensibilisation du grand public à la lutte contre le gaspillage alimentaire et contribuer à réduire l’impact économique.

En une seule année, plus de 70.000 repas ont sauvés !

Signature d’une charte historique contre le gaspillage alimentaire à Courbevoie

Nous avons fêté les 5 ans de la loi contre le gaspillage alimentaire.

À cette occasion, Monsieur le Maire Jacques Kossowski, Arash Derambarsh (adjoint au maire), la Start-up PHENIX, la Croix-Rouge française et les élus de la Ville de Courbevoie ont signé avec tous les directeurs des supermarchés de Courbevoie une charte Historique contre le gaspillage alimentaire.

Dorénavant, il n’y aura plus de gaspillage dans un supermarché dans notre ville. Chaque invendu sera redonné à une association pour les démunis (étudiants, retraités et classe moyenne).

crédit : Mahmoud Haroun

Lutte contre le gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh en couverture du « Today in Seychelles ! »

Arash Derambarsh, adjoint au maire de Courbevoie et avocat au Barreau de Paris, Prix « Win Win » 2019 (équivalent du Prix Nobel pour le développement durable comme le rappelle France Info, Le Figaro et RTL) continue de valoriser la loi contre le gaspillage alimentaire (Food Waste).

C’est la République des Seychelles qui souhaite aujourd’hui voter cette loi inspirée par l’élu français.

Arash Derambarsh et Dentsu Aegis distribuent gratuitement 1500 cartables aux enfants de Courbevoie

Arash Derambarsh et Dentsu Aegis distribuent gratuitement 1500 cartables aux enfants de Courbevoie

« Courbevoie : 1500 cartables distribués gratuitement aux familles » (Le Parisien)

Comme chaque année, Arash Derambarsh et Dentsu Aegis ont distribué gratuitement 1500 cartables et fournitures scolaires aux enfants de Courbevoie.

Remerciements aux partenaires « Carrefour », « Franprix », « le Rugby Club de Courbevoie » et aux parrains Hassane Kolingar (Racing 92) et Ryan Chapuis (Stade Français)

L’avocat Maître Arash Derambarsh dénonce le tribunal médiatique dans l’émission TPMP

L’avocat Maître Arash Derambarsh dénonce le tribunal médiatique dans l’émission TPMP.

Il est l’avocat de Christine Kelly (journaliste), de la victime de Harry Abittan et de Pierre Menes

Arash Derambarsh avocat de Pierre Menes est l’invité de TPMP

Arash Derambarsh avocat de Pierre Menes est l’invité de TPMP et de Cyril Hanouna. Copyright : C8, Canal Plus et TPMP. Avec la présence de : Valérie Bénaïm, Gilles Verdez, Bernard Montiel, Benjamin Castaldi, Géraldine Maillet, Kelly Vedovelli, Delphine Wespiser, Nicolas Pernikoff, Guillaume Genton

Arash Derambarsh : la Sorbonne reconnaît ses erreurs dans un rapport confidentiel selon “Le Courrier de l’Atlas”

L’avocat Maître Arash Derambarsh en interview avec la journaliste Sonia Mabrouk

La Sorbonne reconnaît ses erreurs dans un rapport confidentiel selon “ Le Courrier de l’Atlas ” concernant le supposé plagiat d’Arash Derambarsh sur sa thèse.

En effet, Courrier de l’Atlas a publié vendredi le contenu d’un rapport interne confidentiel de l’Université Paris 1 Sorbonne qui semble dédouaner Arash Derambarsh concernant sa thèse de droit : https://www.lecourrierdelatlas.com/arash-derambarsh-la-sorbonne-reconnait-ses-erreurs-dans-un-rapport/

Le Courrier de l’Atlas, qui avait sollicité l’université, explique : “A une majorité de nos questions, nous étions renvoyés à un rapport de l’enquête administrative interne”, un rapport qu’il ont réussi à obtenir. Ainsi dans ce rapport interne, l’Université confirme l’importance de recevoir une formation doctorale pour l’écriture d’une thèse. Rappelons qu’Arash Derambarsh n’en a jamais reçu et qu’il n’a jamais signé la moindre charte de l’Université. Le Courrier de l’Atlas indique que l’université confirme également qu’il n’y a eu aucune complaisance de la part de son jury de thèse.

Rappelons qu’Arash Derambarsh a été accusé de soutenir une thèse de complaisance. Concernant la confidentialité de la thèse, ce rapport interne dédouane Arash Derambarsh. Certains l’ont accusé d’avoir été à l’origine de cette demande. Il n’en est rien visiblement.

Enfin concernant le logiciel COMPILATION, l’Université aurait utilisé ce logiciel de la mauvaise façon. En effet, l’université aurait utilisé ce logiciel comme d’un outil « anti-plagiat » alors même que la société COMPILATION réfute fermement cela et continue de dire que son outil ne mesure que les similitudes et seule une main humaine peut établir le plagiat. Plagiat qu’il n’y avait pas dans la thèse d’Arash Derambarsh puisque tous les noms apparaissaient mais de façon éparpillées et maladroites (nom dans la bibliographie ou dans le corps de page notamment) : https://www.compilatio.net/blog/arash-derambarsh-conteste-la-fiabilite-de-compilatio

Rappelons que l’Université Paris 1 La Sorbonne avait condamné Arash Derambarsh pour la totalité de ces faits. Le journaliste du Courrier de l’Atlas, Yassir Guelzim, affirme dans son enquête que Thomas Clay (ancien président provisoire de cette université) n’a pas voulu révéler publiquement ce rapport.

A lire également l’article sur le site d’information de Stéphane LARUE : https://stephanelarue.com/arash-derambarsh-la-sorbonne-reconnait-ses-erreurs-dans-un-rapport-confidentiel-selon-le-courrier-de-latlas/

Courbevoie va devenir la ville française zéro gaspillage alimentaire

Ce 3 février 2021, nous fêtons le cinquième anniversaire de la loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Cette loi prévoit deux mesures principales : elle oblige les supermarchés de plus de 400m² à créer un partenariat avec une association d’aide alimentaire pour faire don des invendus consommables. Cette loi interdit également aux distributeurs, sous peine d’une amende de 10.000 Euros, de rendre impropres à la consommation des invendus encore consommables.

A cette occasion, la Ville de Courbevoie se donne pour objectif de devenir une ville référence en Europe dans sa lutte contre le gaspillage alimentaire. 

Grâce au maire de Courbevoie, Monsieur Jacques Kossowski, une charte contre le gaspillage alimentaire vient d’être votée dans notre ville. Le maire de Courbevoie avait d’ailleurs déjà signé en 2015 notre pétition et proposition de loi contre le gaspillage alimentaire lorsqu’il était député des Hauts-de-Seine (https://www.change.org/p/mettons-fin-au-gaspillagealimentaire-en-europe-stopfoodwaste)

Objectif de cette charte : Que tous les supermarchés courbevoisiens fassent un partenariat avec une association caritative et qu’ils ne jettent plus les invendus alimentaires. Ainsi, cette charte va au-delà de la loi de 2016 qui impose aux seuls supermarchés de plus de 400m2 de donner leurs invendus à une association. La ville de Courbevoie implique donc tous les supermarchés et c’est une première en Europe ! 

Cette charte sera applicable dès ce 3 février 2021 à Courbevoie. C’est une première étape qui va impacter ensuite tous les secteurs d’activités comme les boulangeries, la restauration scolaire, la restauration collective, les hôpitaux ou encore les maisons de retraite.

Cette loi française a fait ses preuves. Et nous devons l’appliquer tant au niveau local qu’au niveau international. Ainsi avec cette crise sanitaire sans précédent provoquée par le « Coronavirus Covid-19 », il est plus que nécessaire de développer la solidarité et la fraternité en France et en Europe.  

La Fraternité doit être un des piliers de la construction européenne car c’est une valeur qui permet aux citoyens européens de se rapprocher.  Cela passe par une entraide alimentaire.

Une loi historique en France contre le « Food Waste »

Face à cette aberration, près de 10 millions de Français n’ont plus d’argent sur leur compte en banque à la fin de chaque mois et plus de 100 millions d’Européens vivent dans une situation de pauvreté sur le continent (sources : INSEE et Eurostat). 

En France, grâce à la loi, plus de 5000 nouvelles associations ont bénéficié des invendus alimentaires. Et plus de 10 millions de repas ont été distribués à des démunis. C’est une hausse de 22% du don alimentaire (chiffres confirmés par le programme alimentaire mondial des Nations Unies).

C’est une loi efficace qui a été immédiatement applicable et n’a rien coûté à l’Etat ni aux contribuables.

Mais pour que la loi soit pleinement efficace, elle se doit d’être européenne… et on ne peut pas se satisfaire de la situation dans l’Union Européenne aujourd’hui.

Avec cette crise sanitaire, la pauvreté s’est accrue partout en Europe. Et alors que beaucoup ont du mal à nourrir leurs familles et à faire face à la crise (étudiants, classe moyenne et retraités notamment), chaque supermarché, dans l’Union Européenne, continue de jeter plus de 40kg de nourriture par soir ! Cela correspond à 500€ de nourriture consommable.  

Il faut donc montrer des signes importants et concrets. Ainsi, que les chefs d’Etat de l’Union Européenne, comme le Président Emmanuel Macron, demande à étendre la loi sur notre continent en obtenant une directive européenne contre le gaspillage alimentaire.

L’impact sur le plan européen d’une telle directive permettrait d’éradiquer une partie de la faim sur notre continent. 

Cette directive, à l’image de la loi votée en France ou à Herstal en Belgique (grâce à Frederic Daerden) est simple : elle obligerait chaque supermarché à faire don de ses invendus à l’association de son choix. Elle faciliterait la récupération des invendus consommables d’un supermarché par des bénévoles. Ces derniers pourraient ensuite les distribuer immédiatement aux personnes nécessiteuses, notamment les SDF.

Cet encadrement légal Européen aurait trois conséquences :

1) Que chaque citoyen Européen puisse créer une association et obtenir une habilitation auprès des autorités compétentes.

2) Que chaque citoyen Européen puisse ensuite s’adresser à l’enseigne de son choix, afin que celle-ci lui remette les invendus pour une distribution le soir même.

3) Enfin, que si un supermarché refuse, il soit exposé à une lourde amende. En France, cette amende est de 10.000 € aujourd’hui.

La pétition « Stop au gaspillage alimentaire en Europe » soutenue par le Programme Alimentaire Mondial de Nations Unies, La Croix rouge et Action contre la faim) a déjà dépassé 1,6 millions de signatures. Nous sommes confortés dans l’idée que les Français et les Européens attendent cette loi.

Arash Derambarsh est adjoint du Maire dans la ville de Courbevoie et avocat au Barreau de Paris. À l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire en France, il a reçu le prix « Win Win » en 2019 (équivalent du prix Nobel pour le développement durable).

La presse en parle :

  1. « Courbevoie veut aider ses petits supermarchés à lutter contre le gaspillage alimentaire » (Le Parisien) 
  2. « Courbevoie : ville et supermarchés s’allient contre le gaspillage alimentaire » (Les Echos)
  3. « Courbevoie s’engage contre le gaspillage alimentaire avec tous les supermarchés de la ville » (ACTU)
  4. « Courbevoie lance une charte municipale pour faire appliquer la loi sur les invendus alimentaires » (Le Parisien)

Xavier Bertrand soutient la loi contre le gaspillage alimentaire et cite Arash Derambarsh sur BFM TV

Xavier Bertrand soutient la loi contre le gaspillage alimentaire et cite Arash Derambarsh

La loi française contre le gaspillage alimentaire, votée le 3 février 2016, interdit aux grandes surfaces de plus de 400 m2 de jeter de la nourriture et de rendre leurs invendus impropres à la consommation, sous peine d’amende.

Elle rend aussi obligatoire le recours à une convention pour les dons réalisés entre un distributeur de denrées alimentaires et une association caritative.

En France, la loi a permis d’augmenter de 22% par an le nombre de repas distribués par les associations caritatives aux personnes qui ont faim. Cela représente plus de 10 millions de repas.

La Sorbonne reconnait ses dysfonctionnements sur l’affaire Derambarsh

Maître Arash DERAMBARSH accompagné de Maître Thierry VALLAT

Dans  un précédent article (Arash Derambarsh : L’affaire qui a fait dysfonctionner la Sorbonne), nous relevions les dysfonctionnements qu’a connu l’université Paris 1- La Sorbonne sur le dossier Arash Derambarsh. Thèses non répertoriées, non utilisation du logiciel anti-plagiat, jury “non conforme” selon la commission disciplinaire… Selon l’administrateur provisoire de l’Université, Thomas Clay, l’enquête interne pointe “une série de dysfonctionnements internes et des fautes individuelles partagées entre de multiples acteurs.”

“Circulez, y a rien à voir ! ” C’est dans ces termes que l’on pourrait qualifier l’attitude de l’université Paris 1- La Sorbonne après l’affaire Arash Derambarsh. En effet, dans un communiqué, l’administrateur provisoire, Thomas Clay a voulu, selon ses propres mots “ne pas agir sous la contrainte ou la vindicte”. Après nos questions, Thomas Clay nous avait indiqué que l’université menait une enquête interne pour savoir d’où provenaient les dysfonctionnements qui ont ébranlé l’institution.

« Responsable mais pas coupable »

Dans un communiqué, l’administrateur provisoire de l’université Paris 1-La Sorbonne revient sur les indications de ce rapport. Il conclut “à une série de dysfonctionnements internes et à des fautes individuelles partagées entre de multiples acteurs, quoique de manière inégale entre eux.” Toutefois, il ne préconise “aucune poursuite disciplinaire individuelle, en plus de celle engagée et aboutie contre le doctorant lui-même”. L’Université s’exonère ainsi de toute remontrance et estime que ces erreurs ne méritent pas que l’on s’y attarde plus que ça.

Pour corriger le tir, Thomas Clay indique une refondation complète du système d’autorisation des soutenances et la vérification systématique du plagiat. Des préconisations qui devrait prendre effet dés le 1er décembre. Nous avons demandé à pouvoir analyser le rapport de l’Université Paris 1-La Sorbonne qui n’a pas répondu à notre sollicitation.

Enfin, l’administrateur provisoire estime qu’il va suivre les recommandations du rapport. Celui-ci ne préconise aucune sanction supplémentaire pour les membres de l’université Paris1-La Sorbonne. Il renvoie vers deux procédures en cours, une enquête préliminaire du parquet de Paris et celle disciplinaire conduite par le conseil de l’Ordre du barreau de Paris.

De son coté, Arash Derambarsh a déposé plainte pour cyberharcelement et atteinte à la RGPD auprès des procureurs de la République de Paris et Nanterre contre le compte anonyme “Thèse et Synthèse”. Ce compte avait publié pendant plusieurs mois 1000 tweets contre le doctorant durant la procédure disciplinaire entamée par l’Université Paris 1. Enfin, Arash Derambarsh fait appel de la décision du conseil disciplinaire de la Sorbonne auprès du Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (CNESER).

Sources :

  1. Le Courrier de l’Atlas
  2. France Soir

Pour un hommage national aux victimes du Coronavirus par Arash Derambarsh

Arash Derambarsh a publié, sur le site « La Règle du jeu », une tribune intitulée « Pour un hommage national aux victimes du Coronavirus« 

Vous pouvez également la lire ici :


L’avocat Arash Derambarsh a perdu son père, mort du Covid-19. Il raconte le difficile deuil des familles et plaide pour un hommage national aux victimes.

Monsieur le Président,

Nous sommes le dimanche 29 mars 2020. Il est 21h à Paris lorsque le téléphone sonne. C’est l’Hôpital «La Broca». Celui-ci nous annonce que mon père est testé positif au coronavirus. L’angoisse nous submerge.

L’hôpital nous informe être dépassé par le nombre croissant de patients souffrant du Covid-19. La situation est insoutenable et elle l’est pour nous, nous devons attendre. À ce moment-là, mon Père n’a que de la fièvre.

Mardi 31 mars, il est 6h du matin, je m’éveille à peine. Il y a un appel en absence. Immédiatement, ce numéro m’est familier:c’est l’Hôpital. L’heure matinale de ce coup de téléphone est inhabituelle pour une bonne nouvelle.

Saisi d’une urgence, j’appelle avec un mauvais pressentiment. L’interne décroche toute suite et le couperet tombe;mon Père est mort à 5h34 à l’âge de 74 ans. Emportant avec lui nos souvenirs, Kioumars Derambakhsh était un grand cinéaste français d’origine iranienne.

Quelques secondes après cette annonce violente, l’interne me prévient que je n’ai que deux heures pour venir faire mes adieux à celui que j’ai tant aimé, mon Père. Dans le cas contraire, l’Hôpital sera dans l’obligation de faire évacuer le corps en raison de la crise sanitaire.

Malgré la souffrance, je réveille ma Mère en urgence pour lui annoncer l’indicible. Un cri de douleur résonne dans l’appartement. L’homme qui a partagé plus de cinquante années de sa vie vient de décéder.

Le temps semble suspendu dans la tristesse lorsque le taxi nous dépose enfin à l’Hôpital. Le protocole est strict:

une blouse, une charlotte, un masque. Et même si les larmes inondent le visage de ma mère, nous devons garder une distance ainsi que pour le défunt. Aucun contact, aucun réconfort.

Nous commençons notre périple au travers des dédales l’Hôpital «La Broca» qui venait d’ouvrir au troisième étage une unité «Covid-19». Nous traversons un champ de guerre au lieu d’un couloir d’Hôpital. À chaque pas, à chaque chambre, une personne agonise.

Nous arrivons face à la porte 336, la chambre où mon père est étendu sur son lit. Son visage est serein, un apaisement presque étrange dans cette cacophonie. Encore une fois, nous n’avons ni le droit de le prendre dans les bras, ni de l’enserrer contre notre cœur;cette chaleur humaine est strictement interdite.

Je suis à deux mètres de lui, ma mère pleure à chaudes larmes derrière moi sans qu’une quelconque marque d’affection soit possible, c’est froid, presque clinique. Ce n’est un aurevoir qu’à demi-mot.

Un adieu bref pour un grand Homme. L’interne nous informe que nous n’avons seulement cinq minutes, à cause d’un virus très contagieux.

À cette issue, nous remercions chaleureusement le personnel soignant, pour son courage et son dévouement. Au quotidien, ils font un travail admirable pour accompagner les familles endeuillées. Mais surtout et avant tout, ils aident les malades et risquent leur vie alors que dépourvus d’équipement. Ces héros sont en première ligne pour sauver des vies.

Une semaine s’est écoulée, mon Père est enterré au cimetière de Courbevoie. Nous ne serons que quatre alors que plusieurs centaines d’amis proches souhaitaient honorer sa mémoire pour un ultime adieu. Le confinement empêchant tout rassemblement, personne n’a pu se prendre dans les bras, se soutenir ni s’embrasser. Un deuil solitaire, presque glaçant.

Malgré tout, nous remercions le maire de Courbevoie, Monsieur Jacques Kossowski, les fonctionnaires ainsi que tous les élus locaux qui sont en deuxième ligne, partout en France, pour accompagner les concitoyens.

Mon Père est mort de la même façon que Julie, Christian, Paul, Catherine, Jeanne, Mohamed, Paul, Jeanne, Colette ou encore Jean-François.

Tous ont un point commun:aucun n’a eu l’hommage qu’il mérite, ni l’accompagnement pour leur dernier repos. Dans notre République, accompagner ses morts est une marque de respect et de valeurs fondamentales.

En France, plus de 40.000 personnes vont mourir du Coronavirus Covid-19:à l’Hôpital, dans un Ehpad, dans une maison de retraite, au domicile, dans une clinique et même dans la rue pour certains sans domicile fixe.

Pour les proches ainsi que les familles, cette situation est déshumanisante et d’une tristesse si profonde.

Ce problème va pourtant bien au-delà du drame familial. En effet, en temps de guerre, chaque malade décédé est un mort pour la Nation. C’est un deuil qui nous concerne tous. Toutes ces victimes qui sont tombées face à l’ennemi invisible méritent de mourir dans la dignité. Appelons-en à notre patriotisme face à une situation sans précédent dans notre histoire. Nous pouvons en notre âme et conscience honorer nos morts en décrétant un deuil National.

Ainsi, en décidant de ce deuil National, Monsieur le Président, vous enverrez un signe fort aux enfants de notre Nation selon lequel chaque être Humain mérite de mourir dans la dignité.

Arash Derambarsh TEDxEMLYON : Tomber 9 fois, se relever 10

Arash Derambarsh n’est pas seulement célèbre pour avoir redoublé 9 fois avant de devenir Docteur en droit et Avocat au Barreau de Paris. Très vite, il se bat avec contre le gaspillage alimentaire et parvient, avec des collègues, à faire voter la loi du 3 février 2016 qui empêche dorénavant les supermarchés de jeter leur nourriture invendue en France. Il reçoit le prix « Win Win », équivalent du Prix Nobel du développement durable. Le magazine « Foreign Policy » le classe alors dans les 100 personnalités mondiales de l’année 2016.. Ce véritable pourfendeur du gaspillage vient partager avec nous l’histoire d’un glorieux mais acharné combat contre l’échec. Arash Derambarsh est élu conseiller municipal à Courbevoie, Avocat au Barreau de Paris et Docteur en droit

Arash Derambarsh reçoit en Suède le Nobel du développement durable

Interview Arash Derambarsh sur France Info TV avec Patricia Loison
Arash Derambarsh, avocat au barreau de Paris à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire en 2016, est récompensé du prix Win Win, l’équivalent du Nobel pour le développement durable.
C’est un avocat français qui décroche le « Nobel » du développement durable en 2019. Le prestigieux « Win Win », lui a été, en effet, décerné, le jeudi 31 octobre, par la ville suédoise de Göteborg. Inscrit au barreau de Paris, Arash Derambarsh est récompensé pour « son travail constant et son engagement sans faille pour la cause alimentaire ».
 
 
C’est la première fois qu’un Français reçoit le prix, qui est l’équivalent du Nobel pour le développement durable. Des personnalités internationales de premier plan l’ont reçu par le passé : l’ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan en 2011, l’ancien vice-président des États-Unis Al Gore en 2007 ou encore le maire de Séoul, Park Wan-soon, en 2016.
 
 
 
Arash Derambarsh, qui a prêté serment à la Cour d’appel de Paris en 2018, est à l’initiative de la loi votée en 2016 contre le gaspillage alimentaire, une réussite qui a inspiré d’autres pays dans le monde. L’avocat au barreau de Paris, élu à Courbevoie, est aussi à l’origine de deux pétitions majeures, l’une française avec plus de200.000 signatures, l’autre, européenne avec plus de 1,6 million de soutiens. Il ambitionne aujourd’hui de transposer la loi à un niveau européen.
 
Cette loi permet de distribuer plus de 10 millions de repas chaque année aux associations et d’augmenter les dons alimentaires de 22 % en France.
 
Revue de presse :
1) « Nobel du développement durable : l’avocat Arash Derambarsh récompensé » (RTL)
https://www.rtl.fr/actu/international/nobel-du-developpement-durable-l-avocat-arash-derambarsh-recompense-7799341671/amp
2) « Arash Derambarsh décroche le Nobel du développement durable » (Le Figaro)
https://www.lefigaro.fr/decideurs/portraits/arash-derambarsh-decroche-le-nobel-du-developpement-durable-20191025
3) « La croisade anti-gaspillage d’Arash Derambarsh primée en Suède » (Le Parisien)
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/la-croisade-anti-gaspillage-d-arash-derambarsh-primee-en-suede-28-10-2019-8181921.php
4) « Développement durable : un Français reçoit le prix win win pour son engagement contre le gaspillage alimentaire »
(Europe 1)
https://www.europe1.fr/emissions/axel-de-tarle-vous-parle-economie/developpement-durable-un-francais-recoit-le-le-prix-win-win-pour-son-engagement-contre-le-gaspillage-alimentaire-3928501
5) « La loi contre le gaspillage alimentaire récompensée à Göteborg » (Le Petit Journal)
https://lepetitjournal.com/stockholm/la-loi-contre-le-gaspillage-alimentaire-recompensee-goteborg-267763
6) « Arash Derambarsh : « Mettre le gaspillage alimentaire au cœur des discussions diplomatiques » (RFI)
http://www.rfi.fr/emission/20191101-arash-derambarsh-laureat-prix-win-win
7) « Un Français reçoit le prix Win Win pour son combat contre le gaspillage alimentaire » (France Info)
https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/restauration-hotellerie-sports-loisirs/un-francais-recoit-le-prix-win-win-pour-son-combat-contre-le-gaspillage-alimentaire_3685625.html
8) « Arash Derambarsh, initiateur de la loi contre le gaspillage alimentaire en France, décoré en Suède » (AFP)
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/arash-derambarsh-initiateur-de-la-loi-de-2016-contre-le-gaspillage-alimentaire-decore-en-suede-20191031

Arash Derambarsh fait son entrée dans le Who’s Who édition 2020

Arash Derambarsh fait son entrée dans le Who’s Who édition 2020

Conférence contre le Gaspillage Alimentaire le mercredi 16 octobre 2019 à 18h30 à Courbevoie

A l’occasion de la journée mondiale de l’alimentation et la journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire,

Nous avons le plaisir de vous inviter à cette conférence exceptionnelle en présence de

Arash Derambarsh,Xavier BertrandFrédéric DaerdenGeneviève Wills (Programme Alimentaire Mondial – ONU) et Dorian Dreuil (Action contre la Faim)

Modérateur : Éric de la Chesnais (chef du service agriculture Le Figaro)

Mercredi 16 octobre à 18h30 au CENTRE ÉVÉNEMENTIEL DE COURBEVOIE (7 Bd Aristide Briand 92400 Courbevoie)

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