Blog Arash Derambarsh élu à Courbevoie

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Category: Arash Derambarsh (Page 19 of 24)

Jim Fergus, le géant du roman américain débarque en France

Nous publions bientôt une légende du roman américain : Jim Fergus !
Jim Fergus est né à Chicago en 1950 d’une mère française et d’un père américain. Il vit dans le Colorado.
« Mille femmes blanches » est son premier roman. Ce livre s’est vendu à plus de 250 000 exemplaires aux États-Unis mais c’est en France qu’il a rencontré un grand succès littéraire avec plus de 400 000 exemplaires vendus aux éditions du cherche midi. Il restera pendant 57 semaines dans la liste des meilleures ventes. Jim Harrison a salué « ce roman splendide, puissant et exaltant ».
Journaliste réputé, il écrit des articles sur la gastronomie, la chasse, la pêche et la nature dans les magazines Newsweek, The Paris Review, Esquire sportmen, Outdoor Life, etc…
Il est l’auteur d’un ouvrage consacré à ses souvenirs de chasse, A hunter’s road, déjà considéré comme un classique dans le domaine de la littérature américaine. Mille Femmes blanches a été salué par l’ensemble de la critique américaine. Hollywood a acheté les droits du livre pour en faire une adaptation.
Nous publions son nouveau roman intitulé « Marie-Blanche« .
En effet, Marie-Blanche est le troisième roman de Jim Fergus, après Mille femmes blanches (le cherche midi, 2000) et La Fille sauvage (le cherche midi, 2004).
Jim Fergus a consacré cinq années à l’écriture de ce roman, qui est publié en France en exclusivité mondiale.

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Hommage à Claude Durand, le pape de l’édition française

J’étais avec Roland Dumas, lors de l’émission de Michel Field (TF1 – « Au Field de la nuit« ), lorsque j’ai soudain croisé Claude Durand.
Cela faisait dix ans que nous ne nous étions pas vu.
J’avais vingt ans lorsque je suis venu le rencontrer dans les locaux des éditions Fayard. Un grand Monsieur.
Voici sa biographie :
Claude Durand est né le 9 novembre 1938 à Livry-Gargan.
Il entre dans la vie active à 14 ans et devient instituteur à 19 ans. Après avoir envoyé un manuscrit, il devient en 1958 lecteur aux éditions du Seuil. En 1965, il y devient éditeur à la tête de la collection « Écrire ». Il crée en suite la collection « Combats » publiant des auteurs de gauche d’Amérique latine et des pays de l’Est. En 1967, il découvre Gabriel Garcia Marquez avec Cent ans de solitude et en 1973 sort L’Archipel du Goulag d’Alexandre Soljenitsyne. En 1978, il devient directeur général des éditions Grasset qu’il quitte pour Fayard en 1980. Il prend sa retraite en 2009.
Claude Durand n’a écrit qu’un seul livre, La Nuit zoologique, mais qui fut un coup de maitre puisqu’il a obtenu le Prix Médicis en 1979, avant de prendre sa retraite du monde de l’édition en 2010, où il signe une nouvelle fiction, J’aurais voulu être éditeur, sous un pseudonyme qu’il dénonce paradoxalement dès la quatrième de couverture.
%40-Laurence-Guenoun1-109627.jpegAvec Roland Dumas et Claude Durand (photo de Laurence Guenoun)

La musique dans la publicité : rôle essentiel du marketing

La publicité doit passer un message. Comment le faire passer en très peu de temps ? Avec une histoire bien entendu. Cette histoire doit être belle, rythmée, enjouée, dynamique. Elle doit emporter le consommateur dans un rêve, un imaginaire et le faire participer à l’histoire, à le rendre acteur.
Ainsi, l’objet à vendre deviendra un produit. Puis, avec un peu de chance, une marque… 
C’est ce que l’on appelle le marketing.
Voici quelques exemples.
1) Publicité Yves Rocher (2011)

Avec la musique de The Pretenders (« Don’t get me wrong »)

2) Publicité Orange (2009)

Avec la musique de Ludovico Einaudi (« Divinire »)

3) Publicité Ebay (2009)

Avec la musique de Black Kids (« Look at me »)

Retrouvaille Roland Dumas et Elisabeth Lévy chez Franz-Olivier Giesbert

Roland Dumas est invité actuellement dans les médias pour parler de son nouveau livre mémoires « Coups et blessures« .
Dès lors, passage obligatoire chez Franz-Olivier Giesbert (FOG) dans « Semaine critique ! », une émission consacrée aux débats d’idées et à l’actualité culturelle.
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Franz-Olivier Giesbert reçoit en plateau les invités de la semaine en compagnie d’agitateurs qui alternent chaque vendredi : David Abiker, Fabrice d’Almeida, Elisabeth Lévy, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Marion Ruggieri. Et Nicolas Bedos les rejoint pour sa «Semaine mythomane».
Les invités de ce vendredi 29 avril 2011 sont le professeur Bernard Debré, le sociologue Michel Maffesoli et le journaliste-écrivain Joseph Macé-Scaron.
Seul problème, la dernière fois que Roland Dumas et Elisabeth Lévy se sont rencontrés sur un plateau de télévision, c’était le 1er juin 2010 chez Frédéric Taddei dans l’émission « ce soir ou jamais ». Et cela avait tourné en insultes.
La réconciliation a donc eu lieu chez « FOG » avec cette photo pour la postérité.
La vie est courte, le temps passe, la tolérance et le respect l’emportent. Tant mieux.
Un joli « happy end »…
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A regarder ce passage très drôle entre Roland Dumas, Anne Fulda et Elisabeth Lévy concernant les femmes.

Roland Dumas – Emission “On n’est pas couché”

Roland Dumas, pour la sortie de son livre dans l’émission “On n’est pas couché” du samedi 23 avril 2011. Avec laurent Ruquier, Eric Zemmour, Éric Naulleau et Jonathan Lambert.

Invités : Hugh Laurie (Dr House sur TF1), Roland Dumas (livre «Coups et Blessures» aux éditions du Cherche midi), Sandrine Bonnaire, Hélène Ségara et Jacques Rouveyrollis.

Le livre, La vie, la musique, Grace Jones et Edith Piaf

Ma pensée du jour est la suivante :
« Un bon livre, c’est un livre qui nous fait oublier que c’est un livre et qui nous fait croire que c’est la vie »
Cette pensée me fait rappelle Grace Jones et son interprétation de la chanson « La vie en rose » d’Edith Piaf.
Sa vie est un roman, jouée en musique et Paris en est le décor.
Voici le clip tourné à l’Opéra de Paris.

Grace Jones à l’Opera de Paris : la vie en rose !

Le nouveau projet de Karl Lagerfeld : du déjà-vu

Karl Otto Lagerfeldt, plus plus connu sous le nom de Karl Lagerfeld, propose un nouveau projet.
Le créateur (et directeur artistique de la maison de haute couture de Chanel et Fendi) est un mordu de livres. Il a donc trouvé la solution pour tous ceux à qui l’odeur du papier manque en ces temps de technologie numérique (Facebook, Twitter, Kindle, IPAD, etc) : une fragrance qui rappelle le parfum des livres grâce à une « substance grasse ».
Il travaille sur ce projet, nommé Paper Passion, avec l’éditeur Steidl et le parfumeur berlinois Geza Schön.
Ce dernier a déclaré que la fragrance contiendra une substance grasse proche du linoleum, tirée de manuscrits vierges ou imprimés. Un livre aux pages creuses renfermera le flacon.
Pour les plus impatients, il existe déjà d’autres produits similaires sur le marché comme le Paperback de Demeter, le Tome 1 de Zadig & Voltaire et le parfum de chez Penhaligons Hammam Bouquet.
Une idée originale ? Non malheureusement. En effet, l’odeur des papiers imprimés a dèjà inspiré d’autres maisons de parfum, comme Penghalion’s. La date de sortie n’est pas connue. karl-lagerfeld.jpg

Publication des mémoires de Roland Dumas

AFP – 28.03.2011
Un livre de souvenirs de Roland Dumas, intitulé « Coups et blessures – 50 ans de secrets partagés avec François Mitterrand », paraîtra le 14 avril au Cherche Midi, a indiqué lundi la maison d’édition.
L’ancien ministre des Affaires étrangères « y dévoile son parcours intime qui va éclairer ses choix personnels et politiques » et « révèle aussi des secrets sur François Mitterrand, l’ami et l’homme d’Etat », indique Le Cherche Midi.
M. Dumas, âgé de 88 ans, « s’exprime sur tous les sujets, dont son expérience au Conseil constitutionnel, l’affaire Elf, le Front national ou Nicolas Sarkozy ».
Considéré comme un fidèle de François Mitterrand, M. Dumas entend « donner de la perspective sur une période et des comportements souvent décriés », assure l’éditeur.
Roland Dumas a présidé le Conseil constitutionnel à partir de 1995 avant d’en démissionner en 2000 après avoir été accusé d’avoir favorisé l’embauche de son ancienne maîtresse, Christine Deviers-Joncour, pour des salaires de complaisance dans des sociétés d’Elf. Condamné en première instance à six mois ferme et deux ans avec sursis, il a été relaxé en appel en 2003.
Selon son éditeur, M. Dumas dira également « qui il soutient, et pourquoi, en vue des prochaines primaires » au PS. Il avait apporté son soutien à Ségolène Royal en 2007.
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Ma Tribune dans Le Monde : « Pour la publicité du livre à la télévision »

Ma tribune dans le journal Le Monde en date du 18 mars 2011

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Pour la publicité du livre à la télévision

Voici une curiosité française à laquelle personne ne viendra y dire quelque chose, ni même en débattre. En effet, il a été convenu qu’il ne pourrait pas y avoir de publicité du livre à la télévision, point à la ligne.
Pourtant, nous en avons besoin de cette publicité. En effet, le marché du livre ne se porte pas au mieux. Dans cette période de mutation historique, les éditeurs doivent s’adapter et trouver de nouveaux moyens afin de promouvoir leurs ouvrages.
Le marché du livre en 2010, c’est 268 millions d’ouvrages vendus neufs pour un chiffre d’affaires de 2,8 milliard d’euros. Ce marché comprend la littérature générale, la jeunesse, la littérature poche, la bande-dessinée, les ouvrages pratiques, les beaux-livres, les guides touristiques et les cartes, le parascolaire et les dictionnaires, et enfin l’informatique.
Pour vendre ces ouvrages, aujourd’hui, un éditeur ne peut pas totalement se reposer sur la vente en ligne (Internet) qui commence à peine à progresser tandis que les circuits physiques (librairie) seuls affichent une baisse inquiétante. Alors, certains diront que « tout va bien Madame la Marquise » mais la réalité est tout autre. Les baisses de vente sont quasi-générales.
Si la littérature générale en grand format voit ses ventes progresser (les romans et les essais grand format se sont en effet bien vendus), les ventes de littérature au format poche accusent en 2010 un net recul. De même, il y a une baisse sur les marchés de la jeunesse, de la bande-dessinées (albums et mangas), des guides touristiques et des beaux-livres.
Le constat est donc simple. L’édition française aujourd’hui, c’est un marché à deux vitesses : une minorité qui gagne de l’argent et qui va en gagner encore plus et la grande majorité qui stagne ou qui perd de l’argent et qui voit leur difficulté s’accélérer. Car en effet, le système s’est perverti. Un livre qui marche va marcher encore mieux en raison du système de la « best-sellerisation » et ceux qui vendaient un peu moins ou pas beaucoup ne vendront quasiment plus. Autrement dit, nous assistons à la lente et progressive disparition de la « classe moyenne » de l’édition. Alors quoi faire en attendant les vraies réformes de fond ?
D’abord, comme je l’ai toujours soutenu, il faut aider les éditeurs, libraires et tous les points de vente à s’adapter à cette révolution numérique et à prendre le virage numérique, sous peine de disparaître. C’est au politique de prendre ses responsabilités. C’est le rôle du président de la République et du ministre de la culture de réunir des Etats généraux du livre ou de créer un Grenelle car il y a urgence.
Mais d’autre part, il faut aider la promotion des livres. Nous constatons d’abord qu’il n’y a plus de grandes émissions permettant de vendre des livres. Avec la crise que connaissent la presse écrite et la radio, les éditeurs doivent trouver d’autres moyens de les promouvoir.
A ce jour, la publicité pour le livre est interdite à la télévision, du moins sur les grandes chaînes. Cette interdiction procède du constat que la publicité pour le livre est soit inopérante, soit porteuse d’effets pervers dangereux pour le livre lui-même. En effet, le prix du spot télévisuel est trop élevé pour qu’il soit possible, et même tout simplement rationnel, de promouvoir d’autres livres que les best-sellers. La publicité irait donc aux livres qui en ont le moins besoin, ceux qui bénéficient de très gros tirages. Ce raisonnement a même été érigé par le Conseil d’Etat.
QUOTA
Ainsi, avant 2003, l’édition littéraire n’avait pas accès à la publicité. Et ce pour des raisons économiques afin de ne pas fragiliser les maisons d’édition les plus pauvres et permettre également à la presse écrite de conserver ces ressources spécifiques. Je rappelle la décision du Conseil d’Etat (société TMC, société Pathé Régie) en date du 13 mars 2006 qui avait rejeté les demandes d’annulation du décret n° 2003-960 du 7 octobre 2003 modifiant le décret n° 92-280 du 27 mars 1992, dit « décret publicité » qui avait partiellement ouvert la publicité télévisée à certains secteurs économiques. Selon la décision, l’ouverture du secteur de l’édition littéraire aux chaînes du câble et du satellite « est justifiée par l’objectif d’intérêt général d’apporter de nouvelles ressources à ces services, dont l’économie est fragile, tout en évitant des transferts trop importants de budgets publicitaires de la presse vers la télévision et la concentration des messages publicitaires à la télévision au bénéfice des sociétés d’édition les plus importantes ».
Mais il faut être ambitieux en la matière et ne pas rester sur ce simple raisonnement. C’est d’une affaire d’intérêt général culturelle qu’il est question. Cette décision n’est plus en accord avec notre réalité économique et médiatique. En effet, pour protéger les petits éditeurs et les libraires, le politique refuse d’aider un secteur fragile. L’édition française a pourtant besoin de cette fenêtre médiatique.
Je propose donc de voter une loi pour créer un quota de temps libre pour la publicité pour le livre, produit non commercial mais culturel. Afin de ne pas précisément favoriser les éditeurs les plus riches concernant l’achat des spots de publicité, pourquoi ne pas proposer au Syndicat national de l’édition (SNE) d’organiser avec le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) une promotion équitable et juste entre tous les éditeurs ? De surcroît, il serait tout à fait envisageable de faire un échange de marchandise entre les éditeurs et les diffuseurs. Enfin, pourquoi ne pas débloquer un budget par l’Etat pour cette initiative ?
Il est si simple d’interdire la publicité à la télévision et de refuser ce débat. Tout le monde le souhaite pourtant. Le courage, c’est justement d’en parler et de l’organiser. Notre profession en a besoin, et d’urgence.

Salon du livre – l’impossible entente auteurs/éditeurs sur le numérique ? »

Débat sur LCI avec
Arash Derambarsh (éditions Le Cherche Midi) – Hervé Le Tellier (auteur) – Mathias Lair Liaudet (Union des écrivains)
Juan Pirlot de Corbion (Fondateur YouScribe.com)

TSUNAMI AND EARTHQUAKE : Pray for Japan

Phil Collins arrête la musique : Merci pour tout !

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Phil Collins (groupe Genesis) arrête la musique. Une triste nouvelle…
Cette décision a visiblement était mûrement réfléchie par l’artiste de 60 ans et a été motivée par de gros soucis de santé. Déjà handicapé par des problèmes d’audition depuis quelques années, le mélomane s’est vu frappé par un autre coup du sort.
Après une opération ratée des vertèbres, Phil Collins souffre désormais d’intenses douleurs au dos et a perdu toute sensibilité dans les mains et dans les doigts, ce qui lui rend impossible la pratique de la batterie, son instrument de prédilection. Le chanteur qui ne peut plus jouer a donc décider de se retirer. Quelque peu amer, le chanteur déclarait dans cette même interview ne plus être en phase avec le milieu : « Je n’appartiens plus vraiment à ce monde et je pense que je ne manquerai à personne. Je suis beaucoup plus heureux à écrire dans mon coin. Ce n’est pas très surprenant que les gens aient fini par me détester. Je suis désolé d’avoir eu autant de succès. Je n’avais vraiment pas prévu que ça se passe comme ça « .
Avec sept Grammy Awards , un Oscar  et deux Golden Globes , Phil Collins est le seul, avec Paul McCartney  et Michael Jackson , à avoir vendu plus de 100 millions d’albums à travers le monde à la fois comme artiste solo mais aussi comme leader de groupe. Artiste prolifique, Phil Collins était à l’origine de nombreux tubes : Another Day in Paradise, Against All Odds, In the Air Tonight , One More Night,
J’ai un regret…ne jamais être allé le voir en concert.

Phil Collins et le Groupe Genesis ont bercé ma jeunesse.

Et rien que pour ça…

MERCI POUR TOUT !

Success story du livre : Taschen Books « Design, Art, Photo »

obama+taschen.jpgTaschen est une maison d’édition pour laquelle j’ai beaucoup d’affection. Je voulais depuis longtemps en faire un post sur mon blog.
Mon amie et talentueuse Lou Mollgaard (Public Relations France) m’a fait redécouvrir son catalogue.
Cette maison d’édition fait des livres intelligents, beaux et toujours culturels. Je conseille à chacun d’avoir au moins un livre de Taschen dans sa bibliothèque. Par exemple, cet exemplaire du réalisateur Spike Lee et Aaron Perry-Zucker sur Barack Obama (avec l’aide de tous les bloggueurs).
taschen4.pngLa grande aventure de Taschen débute en 1980, quand Benedikt Taschen, alors âgé de 18 ans, ouvre une boutique en Allemagne, dans sa Cologne natale, pour y revendre son immense collection de bandes dessinées. Un an plus tard, il publie déjà ses propres catalogues pour promouvoir ses marchandises, mais il ne percera vraiment dans le monde du livre d’art qu’en 1984. Cette année-là, il rachète les 40 000 invendus d’un ouvrage en anglais sur Magritte et les revend à une fraction du prix initial. S’intéressant très tôt à l’art, Taschen trouve les livres d’art trop chers et difficiles à trouver. Le succès de son entreprise audacieuse prouve qu’il n’est pas le seul à penser que le marché de l’édition d’art doit être démocratisé.
taschen5.jpgL’objectif de Taschen est donc de publier de fabuleux livres innovants et bon marché pour qu’ils soient à la portée de tout le monde tout autour du monde. Taschen ne se contente pas de suivre la mode mais de créer la tendance et l’événement.
HISTOIRE
Taschen débuta en publiant des collections de bande dessinée (Taschen Comic). Puis elle s’est ensuite fait connaître en proposant des livres d’art à bas prix, sur des thèmes habituellement ignorés des librairies traditionnelles, incluant également des sujets en marge tel que l’histoire de la photographie érotique ou pornographique, le fétichisme, l’art queer et homosexuel, ou des magazines pour adultes (dont de nombreux livres en collaboration avec Playboy). Taschen a eu une influence notable en donnant une visibilité à ces sujets controversés, tout en proposant en parallèle au grand-public ses autres publications : rééditions de bande dessinées, photographie d’art, peinture, art contemporain, design, mode, histoire de la publicité, cinéma et architecture.
L’ambition de l’entreprise est de publier des livres d’art, innovants et au design soigné, à des prix populaires. La série Icons par exemple, publie plusieurs nouveaux volumes chaque année à environ 7 euros, prix dérisoire pour des publications de collections d’art. Basic Art est une autre série populaire, d’environ 300 volumes dédiés chacun à un artiste en particulier, allant des plus célèbres artistes (tel Michel-Ange) à des artistes moins connus (tel Norman Rockwell).
Taschen2.jpgTaschen a publié le second livre le plus cher de l’histoire de l’édition, GOAT (acronyme de Greatest of All Time), un ouvrage de 700 pages sur le boxeur Mohamed Ali à 12 500$, que le journal Der Spiegel désigna comme « la plus grande, lourde et brillante chose jamais publiée dans l’histoire de la civilisation ». Taschen publia également Sumo (1500$), rétrospective de Helmut Newton, et un volume en édition limitée Araki à 2500$.
Taschen.jpgTaschen est le leader incontesté dans son secteur, loin devant les autres maisons d’édition comme DAAB.
Enfin, Taschen possède aussi ses propres librairies à Berlin, Tokyo, Los Angeles, New York, Paris, Bruxelles et Copenhague.

TASCHEN France (Boutique)
2, rue de BuciF-75006 ParisTel.: +33-1-40 51 70 93Fax: +33-1-43 26 73 80Taschen1.jpg

A propos du livre de Frédéric Lefebvre

Mise à jour :

Le Livre « Le mieux est l’ami du bien » est un ouvrage de réflexion personnelle de Frédéric Lefebvre, qui est nourri d’anecdotes, d’analyses, d’hommes politiques, d’écrivains, de journalistes ou d’homme de la rue, ainsi que d’explications techniques, que Frédéric Lefebvre cite et dont il donne les sources explicitement. Sur les 500 pages du livre, quelques références n’ont pas été intégrées. Ces références seront bien évidemment réintégrées lors de la réimpression du livre.

Voici la version de l’AFP qui ne reconnait pas le « plagiat » mais des « références empruntées et non sourcées ».
D’ailleurs, l’AFP reconnait que « Les passages incriminés ont une calligraphie différente du reste du livre et sont présentés comme des encadrés qui les distinguent du reste du texte. »

De plus, Bruno Roger-Petit a dénoncé, sur Le Post, le mauvais procès en plagiat fait à Frédéric Lefebvre.

Je suis éditeur depuis dix ans. J’aime mon métier. Et j’ai la chance de rencontrer des gens si différents.
Ainsi, en 2001, je rencontre Frédéric Lefebvre à Neuilly-sur-Seine. J’ai alors 21 ans et je suis éditeur aux éditions JM Laffont. Ce jour-là, il était avec Nicolas Sarkozy, député-maire de Neuilly (Hauts-de-Seine), et avec Franck Louvrier, son éternel conseiller en communication. J’ai connu très jeune Nicolas Sarkozy en jouant au football à l’Olympique de Neuilly, mais je ne connaissais pas son entourage.
Pourtant, je me suis toujours intéressé aux hommes de l’ombre, aux entourages et ceux qui entourent un animal politique. Mon père me disait toujours qu’un puissant est justement puissant au regard de son entourage. Dis-moi qui t’entoure et je dirais qui tu es. Avec Frédéric Lefebvre et Franck Louvrier, Nicolas Sarkozy s’est entouré de fidèles et de vrais professionnels.
Cette fameuse journée, je me dirige donc vers Frédéric. Il me donne son numéro de portable et sa collaboratrice me donne un rendez-vous peu de temps après. Ce numéro de portable, Frédéric ne le changera pas. C’est toujours le même. C’est ce côté authentique que j’ai aimé chez lui.
Depuis tout ce temps, je lui ai proposé de faire un livre. Depuis dix ans. Il a toujours refusé. Chez Laffont, puis aux éditions Ramsay et enfin aux éditions du cherche midi.
Mais ma persévérance a payé, il a finalement accepté. Je tiens également à dire que Frédéric a accepté par fidélité à mon égard. En effet, lorsqu’il a décidé d’écrire, il a refusé les offres des autres éditeurs qui voulaient le publier.
D’homme de l’ombre, il est passé à la lumière en 2007, après l’élection présidentielle de Nicolas Sarkozy.
Ecarté de la très fameuse réception controversée du Fouquet’s, ce fameux soir de la victoire, j’ai pensé à Frédéric. Lui qui ouvrait systématiquement le chemin du candidat Sarkozy à chaque meeting durant la campagne électorale de 2007, lui qui a fait un travail considérable pour Nicolas Sarkozy, il n’a pas été invité à fêter la victoire. J’ai trouvé ça triste et injuste. Il s’en expliquera un jour en détail. Je l’ai interrogé très régulièrement sur cette période et il m’a toujours répondu de la même façon : pas de rancœur, pas de mauvais sentiment, pas de haine. Et surtout, pas de trahison. Cela prouve que c’est un homme de conviction et un homme loyal. C’est rare.
Alors, bien sûr, je ne partage pas toutes ses idées, toutes ses positions et ses points de vue. Mais le rôle d’un éditeur n’est pas de prendre fait et cause pour un auteur mais de le laisser s’exprimer. Libre ensuite aux Français d’en juger. Ma conception de la démocratie est la défense de la liberté totale d’expression défendue notamment par Voltaire. Cette vision est illustrée par l’apocryphe « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire. » et qui trouve en réalité sa source dans « J’aimais l’auteur du livre de l’Esprit Helvétius. Cet homme valait mieux que tous ses ennemis ensemble ; mais je n’ai jamais approuvé ni les erreurs de son livre, ni les vérités triviales qu’il débite avec emphase. J’ai pris son parti hautement, quand des hommes absurdes l’ont condamné pour ces vérités mêmes. » (Questions sur l’Encyclopédie, article « Homme »).
Ce livre, je tiens à le souligner, fait 522 pages. Plus de 800000 signes. C’est considérable. Il l’a écrit seul.
Par ailleurs, il a des idées. Contestables ou pas, il les développe. Sur le travail, la santé, la culture, le logement, la sécurité, les questions de société, l’écologie, l’immigration, l’économie et les finances publiques. Ces idées feront échos pour la prochaine élection présidentielle de 2012. Il dévoile son projet et il propose d’en débattre.
J’ai connu beaucoup de politiques qui venaient me voir et qui me disaient « tiens, je veux faire un livre pour faire des médias, donnez-moi svp un plan intéressant pour mon livre car les élections approchent ». Quelle honte pour la Politique Française et quelle piètre idée de la Politique. Au moins, Frédéric Lefebvre a des idées, et il a des convictions. Cela change.
Enfin, par l’écriture, il souhaite balayer la caricature si souvent faite de lui. Pour connaitre le vrai Frédéric Lefebvre, je peux affirmer qu’il n’a rien à voir avec l’image qui est véhiculé par-ci et par-là. Qu’importe après tout.
Par ce livre, j’ai voulu que Frédéric puisse s’exprimer le plus lisiblement possible. Sans parasitage, sans caricature et sans passion autour de sa personne.
Aujourd’hui, quoi qu’on en dise, la voix de Frédéric compte dans le débat public et il existe dans la vie politique nationale. Craint par beaucoup, respecté par les uns, ironisé et moqué par les autres. Il n’a jamais refusé un débat et n’a pas de tabous.
Ce livre s’intitule « Le mieux est l’ami du bien« . Il dira pourquoi. C’est son choix et son livre. Il s’est battu pour tous ses détails dont la couverture. Il s’en expliquera également si l’occasion lui est donnée.
J’ai voulu que ce livre soit authentique et qu’il illustre le vrai Frédéric Lefebvre. A vous d’en juger maintenant.
Pour commander son livre sur Amazon

Fr%25C3%25A9d%25C3%25A9ric+Lefebvre.jpgVoici un résumé du livre :
« Il y a des moments privilégiés dans la vie, des moments que l’on n’a pas nécessairement choisis, des moments qui vous permettent de vous adresser à ceux pour qui vous vous êtes engagés depuis votre plus tendre jeunesse : c’est un de ces moments rares, précieux, que la vie a mis sur ma route. Un moment qui m’a permis d’écrire ce livre pour les français. J’ai choisi de leur dévoiler ce qui me fait avancer dans ce monde politique dont je n’apprécie pas toujours les codes. Comme eux ! Je prends du plaisir à en donner aux autres. J’ai depuis toujours le désir ardent de participer à changer la vie des français. Dans l’ombre de Nicolas Sarkozy, puis comme parlementaire, j’ai pu agir pour améliorer leur vie quotidienne. Le ministère de la parole, je veux dire « la parole de ma formation politique » a été, pour moi, un honneur. J’ai même parfois pris du bonheur à riposter aux malveillants. Mais cela a participé de ma propre caricature ; les français m’ont perçu comme le mousquetaire du Président de la République sans toujours percevoir mon engagement profond pour une société plus juste, pour une société du mieux être ou la qualité prime sur la quantité. C’est en revenant sur certains épisodes de ma vie, sur mon action politique que je m’efforce de dessiner des réformes qui me semblent indispensables pour préparer notre pays à une mutation d’envergure. Plutôt que la critique, j’ai choisi la proposition. Voici un livre sur le travail, la santé, l’éducation, la création, le logement, la sécurité, le pouvoir d’achat, la dépense publique, la laïcité mais aussi, la vie et la mort, la mondialisation et l’identité de la France. Voici mes idées pour changer la vie quotidienne des français. Je les dévoile sans tabou et sans provocation ». 

Franz Ferdinand – Take me out live !

Franz Ferdinand – Take me out live

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